© DR
Pour lire l’intégralité de cet article, testez gratuitement Néorestauration - édition Abonnés
Les rosés ne sont plus une simple transition entre le rouge et le blanc. Ils riment toujours avec terrasse, apéritif et chaleur, mais depuis 2 ans ils remontent dans l'estime même des amateurs. Ils prennent du corps et de la présence et s'affichent comme de vrais vins et non plus seulement des vins frais et légèrement acides. Les amateurs se dirigent vers des rosés de table et plus particulièrement les nouveaux vins « nature », sans sulfite, très faciles à boire, même en hiver. Ce type de vin a une vraie raison d'être et est souvent acheté par les restaurateurs, petits restaurants, bars à vins. Ils ont une buvabilité importante, sont très peu tanniques, peu acides, peu boisés et développent leur arôme sur le fruit. Seul souci, ils peuvent repartir en fermentation.[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Pas encore abonné ?