Les préoccupations de santé militent pour un retour, très tendance, au végétal.
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Le printemps arrive et, avec lui, une nouvelle envie de légumes chez vos clients. Le mois de mars coïncide avec l'apparition des premiers légumes primeur (asperge, navet, radis de printemps...), donnant la tentation de croquer dans la fraîcheur. Comme chaque année, les Françaises recommencent à penser minceur et repas équilibrés en prévision des vacances d'été. Mais surtout, chacun ou presque sait maintenant que les légumes (ainsi que les fruits) sont indispensables au maintien de la santé, du fait de leur richesse en facteurs de protection et de leur forte densité nutritionnelle.
Le goût des vrais produits de la "nature"
« Leur consommation, si elle est suffisamment élevée, permet de pallier les inconvénients de l'offre alimentaire actuelle, beaucoup trop riche en ingrédients purifiés, dépourvus de micronutriments », rappelle l'Aprifel. D'ailleurs, même les hommes, après avoir longtemps exclu les végétaux de leur imaginaire alimentaire, s'y sont soudainement intéressés, ne les considérant plus comme des produits pour « femmes au régime », mais comme de vrais aliments de la forme et du bien-être.
S'inscrivant dans une nouvelle tendance alimentaire, les « néo-végétariens » poussent la logique jusqu'au bout ou presque. Après des années d'homogénéisation gustative, accélérée par l'industrialisation galopante de l'agroalimentaire, ils veulent retrouver le goût des aliments. Mais ce retour au végétal prend aussi sa source dans un souci accru de santé. Explication de l'Aprifel : « Depuis trente ans, la déraison nous a poussés à consommer en trop grandes quantités[…]
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