Pour lutter contre la dénutrition dans les établissements de santé, une circulaire ministérielle recommande la mise en place de comité de liaison en alimentation et nutrition (Clan).
Dans les établissements de santé, les problèmes de dénutrition (ou de risques) sont toujours à l'ordre du jour. Malgré les efforts engagés depuis 10 ans sur l'alimentation et la restauration, le constat reste alarmant. Aujourd'hui, une circulaire ministérielle -DHOS 2002-186 du 29 mars 2002- tente d'apporter des solutions en lançant des travaux, en vue de favoriser le développement d'une politique nutritionnelle.
Pour mener à bien ce projet, la circulaire recommande la mise en place au sein de chaque établissement de santé, d'un comité de liaison en alimentation et nutrition (Clan). Celui-ci a pour vocation de participer, à travers ses avis ou ses propositions, à améliorer la prise en charge nutritionnelle des patients, la qualité de l'ensemble de la prestation alimentation-nutrition, y compris en ce qui concerne les projets d'aménagement des locaux, des circuits et d'équipement, dans le cas où ils peuvent avoir des incidences dans ce domaine.
Le texte préconise également pour certains établissements, l'organisation d'une activité de nutrition clinique. En effet, la complexité des problèmes nutritionnels rend souhaitable, en concertation avec le Clan, que soit assurés sous la responsabilité d'un médecin nutritionniste, la surveillance et les soins liés à la prise en charge nutritionnelle des patients hospitalisés ou consultants externes.
Pour mener à bien ce projet, la circulaire recommande la mise en place au sein de chaque établissement de santé, d'un comité de liaison en alimentation et nutrition (Clan). Celui-ci a pour vocation de participer, à travers ses avis ou ses propositions, à améliorer la prise en charge nutritionnelle des patients, la qualité de l'ensemble de la prestation alimentation-nutrition, y compris en ce qui concerne les projets d'aménagement des locaux, des circuits et d'équipement, dans le cas où ils peuvent avoir des incidences dans ce domaine.
Le texte préconise également pour certains établissements, l'organisation d'une activité de nutrition clinique. En effet, la complexité des problèmes nutritionnels rend souhaitable, en concertation avec le Clan, que soit assurés sous la responsabilité d'un médecin nutritionniste, la surveillance et les soins liés à la prise en charge nutritionnelle des patients hospitalisés ou consultants externes.
