Lors de son assemblée générale qui s'est réunie à Bruxelles le 12 décembre, la Fédération européenne de la restauration collective concédée (Ferco), a élu Hans Georg Rummler, directeur des services techniques de Compass Group, au poste de vice-président en charge des questions alimentaires. Cela regroupe la législation européenne en matière d'hygiène des denrées alimentaires, la démarche HACCP, l'étiquetage, l'information du consommateur et la lutte contre l'obésité.
Plus que jamais, la Ferco va donner en 2008 la priorité aux questions alimentaires. Dans ce domaine, l'assemblée générale a adopté des engagements vis-à-vis de la plate forme européenne d'action en matière de nutrition, d'activité physique et de santé. Lors de cette réunion, la Ferco a également décidé de lancer la mise à jour de son code européen de bonnes pratiques en matière d'hygiène des denrées alimentaires et la rédaction d'un code européen pour l'HACCP. Deux autres fortes préoccupations ont également été à l'ordre du jour. Premièrement, l'augmentation constante des prix des denrées alimentaires qui pourrait constituer un risque pour la qualité dans un secteur où les contrats de restauration collective sont attribués majoritairement au prix le plus bas. Deuxièmement, le futur règlement sur l'étiquetage des denrées alimentaires, l'étiquetage nutritionnel et l'information du consommateur. Comme l'a souligné le président Antonio Llorens : « l'application de ce règlement à notre secteur appelle des clarifications. Nos entreprises investissent déjà dans des systèmes efficaces, flexibles et pratiques d'information du consommateur final. Une réglementation inapplicable et pénalisante pour les entreprises doit être évitée ».
Plus que jamais, la Ferco va donner en 2008 la priorité aux questions alimentaires. Dans ce domaine, l'assemblée générale a adopté des engagements vis-à-vis de la plate forme européenne d'action en matière de nutrition, d'activité physique et de santé. Lors de cette réunion, la Ferco a également décidé de lancer la mise à jour de son code européen de bonnes pratiques en matière d'hygiène des denrées alimentaires et la rédaction d'un code européen pour l'HACCP. Deux autres fortes préoccupations ont également été à l'ordre du jour. Premièrement, l'augmentation constante des prix des denrées alimentaires qui pourrait constituer un risque pour la qualité dans un secteur où les contrats de restauration collective sont attribués majoritairement au prix le plus bas. Deuxièmement, le futur règlement sur l'étiquetage des denrées alimentaires, l'étiquetage nutritionnel et l'information du consommateur. Comme l'a souligné le président Antonio Llorens : « l'application de ce règlement à notre secteur appelle des clarifications. Nos entreprises investissent déjà dans des systèmes efficaces, flexibles et pratiques d'information du consommateur final. Une réglementation inapplicable et pénalisante pour les entreprises doit être évitée ».
