JEAN-CHARLES SCHAMBERGER
© Photo F. Ferville
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Les restaurateurs ont encore un beau potentiel de développement à gagner les soirs de week-end, deuxième occasion de chiffre d'affaires de la semaine après les déjeuners. Les résultats de l'étude de l'Institut Fournier, réalisée en partenariat avec Néorestauration, à l'occasion du Congrès RHD (voir pages 12 et 34), les y invitent fortement.
Comment peuvent-ils progresser ? En améliorant leur attractivité, d'abord. L'an dernier, 43 % des Français ne seraient pas sortis dîner l'un des trois soirs du week-end (jeudi, vendredi, samedi). Et, dans la tranche d'âge des 45 ans et plus, ce sont quelque 52 % des personnes interrogées qui n'auraient pas fréquenté vos établissements un soir de fin de semaine. De quoi s'interroger lorsque l'on sait qu'il n'y a pas besoin d'occasion particulière pour le faire (à 80 %).
En surveillant leur offre commerciale ensuite. Les clients veulent garder la maîtrise du prix qu'ils sont prêts à dépenser : 24 E (en corrélation avec l'étude Relais d'Or-Miko de 2003, qui constatait le prix de 25 E pour un dîner loisir). Enfin et surtout, en veillant à leur qualité de service. Hors critères prix, hygiène et qualité gustative, considérés comme le contrat de base, « l'amabilité du personnel » arrive en tête des critères de choix, devant « l'accueil convivial et personnalisé ». Il ne fait pas de doute que le succès d'un restaurant repose pour beaucoup sur son personnel. Cela[…]
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