Faisant allusion à la rupture prônée par le président Sarkozy, il a ajouté "la rupture, c'est aussi de tenir ses engagements". Par ailleurs, dans un communiqué, l'Umih "réitère sa demande de rétablissement de l'égalité fiscale entre toutes les formes de restauration, et donc un taux de TVA réduit pour la restauration".
L'Umih assure que la TVA à taux réduit "aura pour effet la création d'emplois, une baisse de certains prix, une relance des investissements et une hausse des salaires" et qu'elle aura "des répercussions positives sur l'ensemble de l'économie française".
"Les professionnels ont toujours tenu leurs engagements", assure l'Umih en donnant pour "preuve" qu'ils ont créé "20 000 emplois en 2006" avec les "primes à l'emploi transitoires". "Le secteur est celui qui a le plus embauché, le plus augmenté ses salaires (Smic à 1 500 euros) et le plus diminué le temps de travail", insiste le syndicat patronal, rappelant que l'hôtellerie-restauration est encore en "pénurie de 60 000 emplois".