Les 5 organisations syndicales CFDT, FO, CGT, CGC et CFTC de la restauration et de l'hôtellerie demandent "des contreparties sociales à la future baisse de la TVA dans la restauration qui sera en discussion au niveau européen". L'organisation syndicale européenne de l'hôtellerie restauration, l'EFFAT, soutien et s'associe à cette action.
La Fédération des Services CFDT, pour sa part, se félicite de cette unité syndicale autour du thème de la baisse de la TVA dans la restauration, qui sera discutée au Parlement européen cette année sous présidence française à partir du 1er juillet.
« Nous ne pouvons accepter que les employeurs soient les seuls à être reçus par les différents dirigeants politiques français ou européens sans entendre la voix des salariés. Un courrier commun a été adressé ce jour(*) à tous les acteurs politiques du dossier (**) pour demander à être entendus », déclarent les syndicats qui se disent « persuadés que la baisse de la TVA, sans un contrat social préalablement établi entre les partenaires sociaux du secteur, n'aura aucun effet sur l'emploi ».
Ces derniers veulent donc négocier « des contreparties durables pour tous les salariés sans qu'il soit besoin de revenir à la table des négociations chaque année pour se voir adresser un refus systématique des employeurs, comme pour les salaires ». Cette intersyndicale, première du genre dans ce secteur, se dit déterminée dans ses revendications. La Fédération des services CFDT, affirme notamment qu'elle «mobilisera ses troupes si nécessaire pour faire entendre la voix des salariés jusqu'au Parlement européen» , insistant sur le fait que « la TVA n'appartient pas qu'aux seuls employeurs, les salariés ont leur mot à dire».
(*) Le 21 janvier; (**) Président de la République, Président de la Commission européenne, Parlement européen.
La Fédération des Services CFDT, pour sa part, se félicite de cette unité syndicale autour du thème de la baisse de la TVA dans la restauration, qui sera discutée au Parlement européen cette année sous présidence française à partir du 1er juillet.
« Nous ne pouvons accepter que les employeurs soient les seuls à être reçus par les différents dirigeants politiques français ou européens sans entendre la voix des salariés. Un courrier commun a été adressé ce jour(*) à tous les acteurs politiques du dossier (**) pour demander à être entendus », déclarent les syndicats qui se disent « persuadés que la baisse de la TVA, sans un contrat social préalablement établi entre les partenaires sociaux du secteur, n'aura aucun effet sur l'emploi ».
Ces derniers veulent donc négocier « des contreparties durables pour tous les salariés sans qu'il soit besoin de revenir à la table des négociations chaque année pour se voir adresser un refus systématique des employeurs, comme pour les salaires ». Cette intersyndicale, première du genre dans ce secteur, se dit déterminée dans ses revendications. La Fédération des services CFDT, affirme notamment qu'elle «mobilisera ses troupes si nécessaire pour faire entendre la voix des salariés jusqu'au Parlement européen» , insistant sur le fait que « la TVA n'appartient pas qu'aux seuls employeurs, les salariés ont leur mot à dire».
(*) Le 21 janvier; (**) Président de la République, Président de la Commission européenne, Parlement européen.