Jean-Michel Dhenain et Michel Landel, deux DG délégués pour relancer la dynamique.
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Jamais dans son histoire récente, Sodexho Alliance n'aura subi autant d'événements et de résultats fâcheux qu'au cours de l'exercice 2002-2003 (clos le 31 août). Pour n'évoquer que les trois principaux, citons l'infarctus dont a été victime son directeur général délégué, Albert Georges, qui l'a obligé à démissionner de ses fonctions (il reste conseiller de Pierre Bellon). Notons aussi la dégringolade de son cours de Bourse, passé de 58 E en juillet 2001 à moins de 24 Een octobre 2003). Et finissons par le recul de son CA (une première) et la baisse de son résultat net (il y a eu des précédents). Par ailleurs, la politique managériale et la stratégie multiservice de Sodexho ont fait l'objet de vives critiques dans la presse économique.
Des indicateurs encourageants
Mais ces bilans et commentaires appartiennent déjà au passé. Et plusieurs indicateurs présentés le 14 novembre lors de l'annonce de ses résultats annuels montrent que Sodexho a des atouts pour aborder l'avenir. Et, fait inhabituel, le marché ne s'en est pas arrêté à quelques chiffres médiocres et, il est vrai,[…]
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