Suite à la rupture unilatérale des négociations salariales par le collège employeurs de la branche HRC, mécontent de la baisse des aides à l'emploi, les cinq centrales syndicales (CGT, CFDT, CFTC, FO et CFE-CGC) viennent d'adresser un courrier au Président de la République, au président de la Commission européenne et à l'ensemble des députés européens. Objectif : demander une contrepartie sociale à la baisse de la TVA en cours de négociation.
Contrepartie sociale à la TVA
Ce courrier soutenu par l'EFFAT, fédération syndicale européenne pour les secteurs de l'Agriculture, de l'Alimentation et de l'Hôtellerie reprend un mot d'ordre : « pas de baisse de la TVA sans contrepartie sociale ». L'intersyndicale réclame notamment la mise en place d'un 13e mois conventionnel qui serait de nature à améliorer le pouvoir d'achat des salariés du secteur et à rendre ce dernier plus attractif. « Nous avons voulu nous inviter dans un débat sur la TVA qui restait tripartite : Etat, collège employeur et Europe et nous regrettons vivement que les négociations engagées sur la grille des salaires, comme promis suite aux accords de février 2007, aient échoué ", déplore Stéphane Fustec de la CGT.
Contrepartie sociale à la TVA
Ce courrier soutenu par l'EFFAT, fédération syndicale européenne pour les secteurs de l'Agriculture, de l'Alimentation et de l'Hôtellerie reprend un mot d'ordre : « pas de baisse de la TVA sans contrepartie sociale ». L'intersyndicale réclame notamment la mise en place d'un 13e mois conventionnel qui serait de nature à améliorer le pouvoir d'achat des salariés du secteur et à rendre ce dernier plus attractif. « Nous avons voulu nous inviter dans un débat sur la TVA qui restait tripartite : Etat, collège employeur et Europe et nous regrettons vivement que les négociations engagées sur la grille des salaires, comme promis suite aux accords de février 2007, aient échoué ", déplore Stéphane Fustec de la CGT.