
Dans une interview accordée à La Dépêche, Olivier Sadran co-CEO du Groupe Newrest déclare vouloir créer de l’emploi en soutien à l’Ukraine et ses réfugiés.
Pour Olivier Sadran, le vecteur travail est la première étape d’intégration dans un nouveau pays. De ce fait, il a annoncé aux autorités françaises son intention d’ouvrir 120 postes en CDI dans l’activité restauration aérienne du Groupe, sur divers sites comme Orly et Roissy, mais également à Toulouse, Lyon, Nice et Marseille.
Les postes s’ancrent dans des rôles d’agents de propreté, de préparateurs de commandes ou d’employés de restauration.
Le CEO insiste sur l’idée de postes rémunérés en adéquation avec les conventions collectives de Newrest.
Newrest reste en attente d’une réponse favorable de la part des autorités françaises et des recommandations de protocole.