McNeil Nutritionals a l'intention de faire appel.
Division de Johnson & Johnson, McNeil Nutritionals a été condamnée pour la référence au sucre dans les principales allégations des produits Splenda (*). Le Tribunal de commerce de Paris a décidé octroyé à Merisant France, filiale de Merisant Worlwide Inc., un leader mondial des édulcorants de table à basses calories (marques Equal, Canderel entre autres), des dommages et intérêts légaux s'élevant à €40,000 ($54,000) et a ordonné aux défendeurs de cesser les allégations publicitaires violant le dispositif légal protégeant les consommateurs. Les allégations publicitaires reconnues comme violant les dispositions légales réglementant la publicité et que McNeil doit cesser, sont les suivantes : ?Parce qu'il provient du sucre, le sucralose a un goût de sucre ?, ?Au sucralose : provient du sucre et a un goût de sucre ?.
La décision de justice exige que McNeil modifie toutes les publicités, les promotions et plus généralement tous supports informatifs qui contiennent ces allégations ainsi que tous les emballages, dans un délai de 30 jours à compter de la date de la signification du jugement. En outre, le tribunal a interdit la distribution de tout produit sous la marque Splenda dont l'emballage n'aurait pas été modifié à l'issue d'une période de quatre mois à compter de la date de la signification du jugement.
De son côté, McNeil Nutritionals a l'intention de faire appel de cette décision du Tribunal de commerce de Paris. "La société demeure convaincue de la validité de ses slogans", a déclaré un porte-parole, interrogé aujourd'hui par Néorestauration.
(*) lire également Néorestauration n° 438 p 64.
La décision de justice exige que McNeil modifie toutes les publicités, les promotions et plus généralement tous supports informatifs qui contiennent ces allégations ainsi que tous les emballages, dans un délai de 30 jours à compter de la date de la signification du jugement. En outre, le tribunal a interdit la distribution de tout produit sous la marque Splenda dont l'emballage n'aurait pas été modifié à l'issue d'une période de quatre mois à compter de la date de la signification du jugement.
De son côté, McNeil Nutritionals a l'intention de faire appel de cette décision du Tribunal de commerce de Paris. "La société demeure convaincue de la validité de ses slogans", a déclaré un porte-parole, interrogé aujourd'hui par Néorestauration.
(*) lire également Néorestauration n° 438 p 64.