
© Sheila Pedraza
Babybel vient de publier les résultats d’un sondage représentatif réalisé par Ifop en mai dernier, auprès de salariés Français en poste. D’où il ressort que 52% d’entre eux ont pratiqué des pauses alimentaires en travaillant. 4 salariés sur dix ont jugé essentiel de s’autoriser des « plaisirs alimentaires » durant le confinement. Des pauses snacking volontiers sucrées, pour 77% des répondants, gateaux, bonbons (46%) et chocolat 40%) en tête ; des pauses salées aussi pour 24% de leurs adeptes, autour de charcuterie (16%) et de fromage (12%) notamment. 17% des répondants ont consommé des collations sucrées et salées.
Cette dynamique qui s’inscrit à la hausse est d’autant plus notable qu’elle porte uniquement sur une période de deux mois alors même que les pratiques alimentaires sont généralement bien ancrées, et donc peu susceptibles d’évoluer rapidement. La situation exceptionnelle de confinement a donc eu un impact sur le rythme alimentaire des salariés. Impact qui pourrait être durable, pour des pauses snacking synonyme de réconfort pour 47% des salariés interrogés : plus d’un salarié Français sur deux (55%) ont l’intention de poursuivre cette habitude lors de la reprise du travail sur site