L'année 2006 sonne la reprise pour le groupe Bernard Loiseau qui parvient à afficher un bénéfice net de 47 000 euros pour un CA de 7,86 M€ (+ 12,1 %). Une performance d'autant plus remarquée que c'est la première fois depuis le décès du grand chef Bernard Loiseau, en février 2003, que le résultat du groupe est excédentaire. « A la suite du départ de Bernard, nous avions perdu près de 40 % de notre activité ; les années ont été difficiles mais nous sommes parvenus à redresser la barre grâce à de gros efforts de gestion », explique Dominique Loiseau, PDG du groupe. De son côté, Isabelle Proust, directrice générale se félicite de ce bilan positif avec un an d'avance sur le programme. Sur l'exercice 2005, le groupe affichait encore une perte de 308 000 euros.
Preuve d'un dynamisme retrouvé, le groupe reprend son développement. Il vient d'utiliser une partie de sa trésorerie nette (plus de 4 M€) et de recourir à un emprunt, pour acquérir un nouveau fonds de commerce à Beaune : le restaurant Bernard Morillon rebaptisé Loiseau des Vignes. Situé dans le cœur de Beaune, cet établissement, en cours de travaux devrait rouvrir courant juillet et rejoindre la galaxie Loiseau qui compte le restaurant éponyme basé à Saulieu et les deux établissements parisiens, Tante Marguerite et Tante Louise. La décoration mettra en valeur un beau plafond à la française, la pierre de Comblanchien au sol et des murs avec enduits beurrés. Une cinquantaine de couverts pourront être accueillis avec des menus au déjeuner, simples et rapides à 23 et 28 euros et le soir, une offre plus gastronomique avec une formule à 75 euros.
Preuve d'un dynamisme retrouvé, le groupe reprend son développement. Il vient d'utiliser une partie de sa trésorerie nette (plus de 4 M€) et de recourir à un emprunt, pour acquérir un nouveau fonds de commerce à Beaune : le restaurant Bernard Morillon rebaptisé Loiseau des Vignes. Situé dans le cœur de Beaune, cet établissement, en cours de travaux devrait rouvrir courant juillet et rejoindre la galaxie Loiseau qui compte le restaurant éponyme basé à Saulieu et les deux établissements parisiens, Tante Marguerite et Tante Louise. La décoration mettra en valeur un beau plafond à la française, la pierre de Comblanchien au sol et des murs avec enduits beurrés. Une cinquantaine de couverts pourront être accueillis avec des menus au déjeuner, simples et rapides à 23 et 28 euros et le soir, une offre plus gastronomique avec une formule à 75 euros.