Chocolate Muesli Bar with Blueberries and Mint Leaf on Wooden Background
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Ce recours aux encas ne se limite pas au déjeuner. La pratique du grignotage se poursuit également en milieu d'après-midi.
Est-ce par faim ? Certains experts expliquent cette fringale par une prise alimentaire insuffisante à midi, pas assez équilibrée, se limitant parfois à un seul plat ou un sandwich.
D'ailleurs, ils sont 18 % à avouer que grignoter leur permet de compenser un repas sauté ou incomplet. Lorsque le consommateur « craque » dans la journée, ses choix se portent en général sur des produits sucrés.
S'agit-il d'une envie compulsive de glucides ? D'une petite douceur qui vise à détendre, à lutter contre le stress ?
19 % sont dans ce cas. Certains clients ont même pris l'habitude d'emporter avec eux la composante sucrée (compote, biscuits, fromage blanc, fruit...) de leur formule, pour combler le petit creux de milieu d'après-midi. Peut-être une version adulte du goûter de notre enfance...
15 % des consommateurs interrogés expliquent ce grignotage par le fait qu'ils « aiment bien faire une pause sucrée entre les repas ». Une recherche de plaisir, tout simplement, sans culpabilité.
Autre constat : le snacking reste associé à la semaine de travail. Les résultats de l'étude Vitagora-Ipsos révèlent que 50 % des Français grignotent l'après-midi, et ce, au moins une fois par semaine.
Ce pourcentage chute en fin de semaine, ils ne sont plus que 28 % à se laisser tenter par le grignotage au moins une fois durant le week-end.
