Le GNI alerte les pouvoirs publics sur la catastrophe économique et sociale que représente la menace d’annulation des festivals d’été.
Les 3 co-présidents du GNI, Didier Chenet, président du Synhorcat, Claude Daumas, président de la Fagiht et Gérard Guy, président de la CPIH sont particulièrement inquiets pour les emplois, la notoriété touristique mondiale de la France qui sont en partie dus à la renommée de notre vie culturelle régionale.
Alors qu’à ce jour les réservations pour la saison estivale, comparé avec l’an passé ne paraissent pas propice à une excellente saison 2014, les hôteliers et restaurateurs mettent beaucoup d'espoir pour consolider leur chiffre d’affaires lors des festivals et animations culturelles sur leur territoire.Dans ce contexte, l’Etat doit envisager des mesures pour accompagner ces festivals.
Sans porter un jugement sur les revendications des intermittents, le GNI pense qu’ils se « tirent une balle dans le pied » car l’absence de festivals cette année entraîne leur suppression à long terme ainsi que la mort de la vie locale l’été, période particulièrement propice au rayonnement des régions et à leurs ressources.
Le GNI inquiet des répercussions de la grève des intermittents du spectacle
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02/03/2023
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Interview