Connu en Bretagne pour accueillir mariages et séminaires, le Château d'Apigné, au Rheu, près de Rennes, a ouvert le restaurant gastronomique « Les Tourelles ». Cette table de 55 couverts a été confiée au chef Philippe Peudenier, formé aux côtés d'Alain Atibard, fondateur de l'Arpège, et de Senderens, qui l'a emmené en Grèce, au Japon, en Thaïlande, en Australie, au Maroc... Il a ensuite tenu son propre établissement à Clermont Ferrand et œuvré au château de Saint-Gwénolé.
Des expériences multiples qui inspirent aujourd'hui une cuisine mariant habilement les saveurs étrangères aux produits locaux et de saisons, comme le pigeon de « Paul Renault », rôti aux graines de tournesol, courgette façon moussaka et condiment myrtilles ou un filet de Saint-Pierre japonisant laqué au vinaigre de gingembre, riz noir, maïs et coriandre bâton, parfumé au curry. L'ensemble est servi sur une vaisselle originale souvent imaginée sur mesure comme ces mignardises servies sur un bloc de granit.
Une équipe de dix personnes en piste
La cuisine est équipée de fourneaux Capic conçus sur mesure, de deux planchas, plaque coupe-feu, d'un plan de dressage chauffant, d'une broche mixte viande et poisson... L'équipe comprend sept personnes en cuisine et trois en salle. La carte sera renouvelée quatre fois par an. « Il s'agit d'attirer les gens vers des lieux hors du commun avec des prix accessibles. Dans un lieu de culture comme ce château que peut-on faire d'autre qu'un établissement hôtelier ?», indique Karim Kahn-Renault, propriétaire qui a entrepris la rénovation du site en juillet 2008. Il a investi 1,5 M€ pour doubler la surface de la cuisine, agrandir la salle de réception, aménager neuf chambres à l'étage... Huit autres pièces seront ouvertes dans l'écurie annexe d'ici la fin de l'année. Pour le propriétaire, l'hôtellerie doit doper le restaurant, qui table sur un chiffre d'affaires de 1,8 M€.
Frédéric Thual
Des expériences multiples qui inspirent aujourd'hui une cuisine mariant habilement les saveurs étrangères aux produits locaux et de saisons, comme le pigeon de « Paul Renault », rôti aux graines de tournesol, courgette façon moussaka et condiment myrtilles ou un filet de Saint-Pierre japonisant laqué au vinaigre de gingembre, riz noir, maïs et coriandre bâton, parfumé au curry. L'ensemble est servi sur une vaisselle originale souvent imaginée sur mesure comme ces mignardises servies sur un bloc de granit.
Une équipe de dix personnes en piste
La cuisine est équipée de fourneaux Capic conçus sur mesure, de deux planchas, plaque coupe-feu, d'un plan de dressage chauffant, d'une broche mixte viande et poisson... L'équipe comprend sept personnes en cuisine et trois en salle. La carte sera renouvelée quatre fois par an. « Il s'agit d'attirer les gens vers des lieux hors du commun avec des prix accessibles. Dans un lieu de culture comme ce château que peut-on faire d'autre qu'un établissement hôtelier ?», indique Karim Kahn-Renault, propriétaire qui a entrepris la rénovation du site en juillet 2008. Il a investi 1,5 M€ pour doubler la surface de la cuisine, agrandir la salle de réception, aménager neuf chambres à l'étage... Huit autres pièces seront ouvertes dans l'écurie annexe d'ici la fin de l'année. Pour le propriétaire, l'hôtellerie doit doper le restaurant, qui table sur un chiffre d'affaires de 1,8 M€.
Frédéric Thual