Le chef de l'état fera-t-il pencher la balance ?
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Jacques Chirac ou Jean-Pierre Raffarin obtiendront-ils de Gerhard Schroeder ce que leur ministre des Finances, Francis Mer, n'a pu obtenir de son homologue allemand Hans Eichel ? Inquiets de l'absence de progrès dans les négociations européennes sur le projet de directive des taux réduits de TVA, certains professionnels estiment que seule, désormais, une intervention au plus haut sommet de l'état pourrait convaincre nos partenaires les plus réticents, en particulier allemands, hostiles à l'extension du champ d'application des taux réduits.
Pour d'autres bons connaisseurs du dossier, la solution la plus réaliste réside dans la solidité des arguments de la demande française, dans l'écoute de chacun de nos partenaires, et dans l'art du compromis. La France, enfin, peut-elle obtenir gain de cause à la fois sur la restauration, les disques et la Corse ? Les mêmes en doutent et affirment qu'elle devra choisir.
La France, en tout cas, s'active sur le dossier, par tous les canaux possibles. « Nous sommes au maximum de l'effort de lobbying, tant vis-à-vis de nos partenaires européens qu'à l'égard du gouvernement[…]
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