Les organisations patronales (Synhorcat, CPIH, Faghit) et les 5 syndicats du secteur (FO, CGT, CFE-CGC, CFDT, CFTC) ont écrit au Premier Ministre pour qualifier de « prétexte fallacieux » les arguments des deux organisations patronales qui s'opposent à l'accord, à savoir l'Umih et le GNC.
L'entrée en vigueur de l'accord dépend d'un décret du gouvernement, après avis d'une instance consultative, qui devait avoir lieu le 22 janvier et a été finalement reportée le 4 février.
Si cette réunion d'instance est maintenue, les augmentations de salaire et les primes liées à la baisse de la TVA pourraient entrer en vigueur le 1er mars. Didier Chenet, président du Synhorcat, a ajouté « Nous n'avons pas d'inquiétude. Le gouvernement s'est engagé à étendre l'accord ».