Quatre ans et demi d’existence, et désormais près d’une centaine d’entreprise clientes, en propre ou via son partenariat avec le groupe Elior, pour i-lunch. La FoodTech, créée par Victoria Benhaïm, attaque la rentrée sur une belle dynamique, annonçant d’ores et déjà l’ouverture de 10 nouvelles cantines sur le mois de septembre, sur solutions intégrées, comprenant non seulement la livraison de plats sains et la mise en place du système de consigne, mais aussi la refonte complète des lieux de restauration en entreprise.
Une approche multi-formats, par laquelle i-lunch compte bien continuer à prendre des positions, parce qu’elle répond aux attentes des salariés et de leurs employeurs dans un contexte toujours marqué par la crise sanitaire, mais aussi parce que son offre s’inscrit dans des tendances de consommation marquées. Selon une étude Yougov, 74% des salariés veulent consommer du frais ou du fait-maison et 68% des salariés veulent des produits locaux et de saison. Pour répondre à ces besoins de manger plus sainement, I-lunch vient de mettre en place le nutri-score pour ses 600 recettes. Alors que 80% de ses plats sont déjà notés A ou B, elle souhaite en proposer 90% d’ici fin 2022.
La Foodtech a annonce également avoir signé un partenariat avec une entreprise qui propose des produits "hors-normes" sourcés au niveau national avec une grande gamme de produits Bio, qui participent au non-gaspillage alimentaire. Partenariat qui s’inscrit dans la droite lignée de la loi EGalim, qui imposera aux entreprises de restauration collective de proposer au moins 50% de produits durables en 2022.
A noter enfin de la part de la Foodtech, qui vise le zéro déchet par un système de consigne, la suppression intégrale des emballages plastiques à usage unique, qui devrait lui permettre d’économiser annuellement 10 tonnes de déchets plastiques ; et du côté du gaspillage alimentaire, une mise en place payante de précommandes pour éviter la surproduction: 60 000 repas seront ainsi économisés par i-lunch en 2021.