Longtemps pris dans la tempête d'un marché très concurrentiel et secoué par la crise de la restauration, Horis semble maintenant entré de plain-pied dans une ère de profitabilité. Les choix stratégiques de son président, Thierry Brener, la rigueur de gestion et le travail de ses managers, directeur général, Hervé Giraud, en tête, sur les 4 usines du groupe, les produits et les réseaux Bonnet et HMI-Thirode ont été payants.
Apax Partners, a aussi joué un rôle clé dans ce rétablissement. Entré en 1990 dans le capital, le fonds d'investissement aurait dû sortir après quelques années. Mais les pertes sont vite arrivées, avec le violent retournement du marché. Apax s'est alors acquitté de ses responsabilités en remettant au pot à plusieurs reprises pour éviter le dépôt de bilan et doter les usines d'équipements pointus. Ceux qui génèrent la productivité nécessaire à la constitution de la marge, Horis sachant qu'elle viendrait des lignes de production.
à commencer par celles de TGCP à Poligny (Jura), premier site français de la grande cuisine, spécialiste de la cuisson et des lignes de self. « Nous[…]
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