Pas de nouvelles informations en revanche sur l'intérêt du groupe sur le dossier SSP (lire neorestauration.com du 13 décembre 2005) malgré de nombreuses interrogations des actionnaires. Robert Zolade, président d'Elior, qui a répété que le groupe respectait la clause de confidentialité signée avec le groupe Compass en décembre dernier, s'est limité à dire qu'Elior suivait avec intérêt « la dévolution » de ces activités de concessions. Les actionnaires ont également dû rester sur leur faim concernant le dossier d'ouverture éventuelle du capital de HBI, contrôlée par Robert Zolade, et la possible OPA sur Elior : "les réflexions sont toujours en cours et il n'est pas certain qu'elles aboutissent comme cela a été indiqué dans notre communiqué de janvier " a commenté le président (lire neorestauration.com du 13 janvier). Enfin, l'opération réalisée en début de semaine par Francis Markus (cofondateur d'Elior et aujourd'hui président du conseil de surveillance) n'a pas de conséquence à ce niveau : « Je n'ai pas cédé d'actions à cette occasion. Il s'agissait simplement d'assurer la pérennité du patrimoine familial », a commenté l'actionnaire.
Forte participation des actionnaires lors de l'assemblée générale du groupe Elior
Le groupe de restauration sous contrat et des services associés, qui fête ses quinze ans cette année, promet un développement créateur de valeur.
L'AG et l'AGE du groupe de restauration sous contrat, qui se tenaient à Paris, ce mercredi, dans les salons de la Maison de l'Amérique latine, a attiré bon nombre d'actionnaires. Outre la confirmation de ses objectifs pour l'exercice, le groupe a rappelé les deux composantes de son cœur de métier : la restauration collective et le "facility management" d'une part, la restauration de concession et le "travel retail" d'autre part. Elior, qui affiche de grandes ambitions, tant dans le développement international, que dans le domaine des ressources humaines (« devenir l'employeur préféré du secteur »), a souligné par ailleurs sa capacité à mobiliser des ressources financières.
Pas de nouvelles informations en revanche sur l'intérêt du groupe sur le dossier SSP (lire neorestauration.com du 13 décembre 2005) malgré de nombreuses interrogations des actionnaires. Robert Zolade, président d'Elior, qui a répété que le groupe respectait la clause de confidentialité signée avec le groupe Compass en décembre dernier, s'est limité à dire qu'Elior suivait avec intérêt « la dévolution » de ces activités de concessions. Les actionnaires ont également dû rester sur leur faim concernant le dossier d'ouverture éventuelle du capital de HBI, contrôlée par Robert Zolade, et la possible OPA sur Elior : "les réflexions sont toujours en cours et il n'est pas certain qu'elles aboutissent comme cela a été indiqué dans notre communiqué de janvier " a commenté le président (lire neorestauration.com du 13 janvier). Enfin, l'opération réalisée en début de semaine par Francis Markus (cofondateur d'Elior et aujourd'hui président du conseil de surveillance) n'a pas de conséquence à ce niveau : « Je n'ai pas cédé d'actions à cette occasion. Il s'agissait simplement d'assurer la pérennité du patrimoine familial », a commenté l'actionnaire.
Pas de nouvelles informations en revanche sur l'intérêt du groupe sur le dossier SSP (lire neorestauration.com du 13 décembre 2005) malgré de nombreuses interrogations des actionnaires. Robert Zolade, président d'Elior, qui a répété que le groupe respectait la clause de confidentialité signée avec le groupe Compass en décembre dernier, s'est limité à dire qu'Elior suivait avec intérêt « la dévolution » de ces activités de concessions. Les actionnaires ont également dû rester sur leur faim concernant le dossier d'ouverture éventuelle du capital de HBI, contrôlée par Robert Zolade, et la possible OPA sur Elior : "les réflexions sont toujours en cours et il n'est pas certain qu'elles aboutissent comme cela a été indiqué dans notre communiqué de janvier " a commenté le président (lire neorestauration.com du 13 janvier). Enfin, l'opération réalisée en début de semaine par Francis Markus (cofondateur d'Elior et aujourd'hui président du conseil de surveillance) n'a pas de conséquence à ce niveau : « Je n'ai pas cédé d'actions à cette occasion. Il s'agissait simplement d'assurer la pérennité du patrimoine familial », a commenté l'actionnaire.
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