Mardi 9 mars, le tribunal de grande instance de Paris déclaré « irrecevables » les demandes de Christine Pujol et André Daguin qui se disputent la présidence de l'Umih depuis quelques mois. Christine Pujol, élue présidente depuis le 15 septembre 2008 avait saisi la justice pour faire reconnaître qu'elle était bien la « présidente confédérale en exercice de l'Umih » et faire annuler l'assemblée générale extraordinaire du 24 novembre qui avait désigné André Daguin comme président par intérim.
Le tribunal a déboutée Christine Pujol pour n'avoir pas produit de « délibération du directoire lui donnant mandat pour agir en justice ». Le directoire, désigné à l'issue de l'AGE contestée, est en effet favorable à André Daguin. Christine Pujol a déclaré avoir pris « acte de la décision du tribunal » et n'a pas précisé si elle allait faire appel. Les magistrats ont retoqué également André Daguin qui réclamait des dommages et intérêts pour procédure abusive. Le président par intérim a rappelé qu'il cesserait ses fonctions lundi prochain, à la tenue de nouvelles élections.
Le tribunal a déboutée Christine Pujol pour n'avoir pas produit de « délibération du directoire lui donnant mandat pour agir en justice ». Le directoire, désigné à l'issue de l'AGE contestée, est en effet favorable à André Daguin. Christine Pujol a déclaré avoir pris « acte de la décision du tribunal » et n'a pas précisé si elle allait faire appel. Les magistrats ont retoqué également André Daguin qui réclamait des dommages et intérêts pour procédure abusive. Le président par intérim a rappelé qu'il cesserait ses fonctions lundi prochain, à la tenue de nouvelles élections.