En dépit d'en excellent 4e trimestre, McDonald's Corporation a annoncé lundi d'un bénéfice net 2007 de 2,39 Md$, en baisse de 32%. Un fort recul dû à une lourde charge liée à la dépréciation d'actifs cédés en Amérique latine et aux Caraïbes en avril dernier (« activités Latam »). Le résultat d'exploitation, s'inscrit pour sa part en baisse de 12%, à 3,88 Md$.
Le chiffre d'affaires 2007 du groupe est de 22,78 Md$, soit une hausse de 9% en données publiées et en hausse de 4% hors effet de change, ce qui est conforme à l'objectif du groupe. A périmètre comparable, la hausse du chiffre d'affaires s'établit à 6,8%, "C'est l'une des plus fortes croissances que le groupe ait connues depuis le lancement de notre Plan pour gagner", a commenté le PDG Jim Skinner. McDonald's avait lancé ce plan stratégique en 2003 pour faire repasser le groupe dans le vert après une perte nette historique. Ce dernier avait alors revu en profondeur ses menus et le design de ses restaurants.
Le groupe s'est dit "optimiste" pour son activité en 2008 et "confiant" en particulier pour les Etats-Unis, "malgré des ventes stables en décembre, à nombre d'enseignes comparables, en raison de températures très froides et d'un ralentissement des dépenses des ménages".
Le chiffre d'affaires 2007 du groupe est de 22,78 Md$, soit une hausse de 9% en données publiées et en hausse de 4% hors effet de change, ce qui est conforme à l'objectif du groupe. A périmètre comparable, la hausse du chiffre d'affaires s'établit à 6,8%, "C'est l'une des plus fortes croissances que le groupe ait connues depuis le lancement de notre Plan pour gagner", a commenté le PDG Jim Skinner. McDonald's avait lancé ce plan stratégique en 2003 pour faire repasser le groupe dans le vert après une perte nette historique. Ce dernier avait alors revu en profondeur ses menus et le design de ses restaurants.
Le groupe s'est dit "optimiste" pour son activité en 2008 et "confiant" en particulier pour les Etats-Unis, "malgré des ventes stables en décembre, à nombre d'enseignes comparables, en raison de températures très froides et d'un ralentissement des dépenses des ménages".