En 2006, avec un ticket moyen à 7,84 € (source : Panel NPD Crest), la France reste un des marchés les plus valorisés en Europe, après l'Allemagne (8,02 €) et avant le Royaume-Uni (7,07 €). Le marché total de la restauration commerciale en France s'est ainsi élevé à 28,3 Md€ en 2006. « La bonne santé de la restauration commerciale en France a été portée principalement par la progression de la fréquentation à +1,4 % (par rapport à l'année précédente) tandis que le ticket moyen est resté relativement stable à +0,1 %. Cette croissance des visites a bénéficié de manière inégale aux différents segments de marché : tandis qu'elle s'est élevée à +2,4 % pour la restauration dite moderne (fast-foods, sandwicheries, boulangeries et cafétérias, autre restauration rapide), elle a enregistré une baisse de -0,7 % pour la restauration traditionnelle. Au sein de la restauration moderne, on note notamment le dynamisme des segments fast-food (+6,1 %) et sandwicherie (+3,2 %) », analyse NPD.
En ce qui concerne la répartition des produits consommés, il apparaît que l'alimentaire conserve la part principale avec 62 % contre 38 % pour les boissons. Fait marquant, le nombre de prises produits a progressé plus fortement que le montant des dépenses : +5,2 % pour les boissons et +6,5 % pour l'alimentaire contre +1,3 % en dépenses. Il en résulte une hausse du plateau moyen (nombre de produits pris par visite) qui a bénéficié à l'ensemble de familles de produits et notamment aux desserts.
« Le marché de la restauration commerciale en France porte aujourd'hui les attributs d'une croissance saine, puisque drainée principalement par la multiplication des occasions de consommation. Par ailleurs, la progression du nombre d'articles consommés conjointe à la relative stabilité de la dépense moyenne semble s'expliquer par deux facteurs : une sélection du meilleur rapport quantité/prix ou un choix plus fréquent des menus et promotions », explique Christine Tartanson, Manager Foodservice France - NPD Group.
En ce qui concerne la répartition des produits consommés, il apparaît que l'alimentaire conserve la part principale avec 62 % contre 38 % pour les boissons. Fait marquant, le nombre de prises produits a progressé plus fortement que le montant des dépenses : +5,2 % pour les boissons et +6,5 % pour l'alimentaire contre +1,3 % en dépenses. Il en résulte une hausse du plateau moyen (nombre de produits pris par visite) qui a bénéficié à l'ensemble de familles de produits et notamment aux desserts.
« Le marché de la restauration commerciale en France porte aujourd'hui les attributs d'une croissance saine, puisque drainée principalement par la multiplication des occasions de consommation. Par ailleurs, la progression du nombre d'articles consommés conjointe à la relative stabilité de la dépense moyenne semble s'expliquer par deux facteurs : une sélection du meilleur rapport quantité/prix ou un choix plus fréquent des menus et promotions », explique Christine Tartanson, Manager Foodservice France - NPD Group.