Après 7 mois de travaux, le Duc des Lombards, haut lieu du jazz à Paris, s'apprête à rouvrir au 42, rue des Lombards (Paris 1er). Il devient aussi café-restaurant avec une carte concoctée par le chef Alain Alexanian.
Le Duc des Lombards, racheté en 2007 par Gérard Brémont à titre privé (aussi PDG de Pierre & Vacances), rouvrira le 20 février sous de nouveaux habits d'apparat conçus par le designer Elliott Barnes. Il devient surtout un endroit pluriel : à la fois jazz club, café et restaurant de 140 places assises ouvert toute la journée.
Alain Alexanian, a joué les 5 sens pour la carte qui s'articule autour de produits frais et de saison, souvent issus de l'agriculture biologique ou sélectionnés auprès de petits producteurs. Les mets seront servis dans des plats en fibres naturelles, en particulier des feuilles de palmiers. La restauration du déjeuner a été positionnée autour des 8 € pour les entrées, 14 € pour les plats et 8 € pour les desserts. Pour le soir en revanche, des Croq'in Jazz, un format de restauration plus légère, seront proposés pendant les concerts à 8 € pour le salé et 6 € pour le sucré à l'exemple du Croq'n Jazz au foie gras poêlé et gingembre.
Ouvert de 10 h à 3 h du matin
Dès 10 h du matin, un espace café accueillera les convives puis le Duc proposera tout au long de la journée, une restauration saine et inventive. L'endroit a choisi de mettre en avant la notion de plaisir et de partage avec les artistes. En témoigne le soin apporté à l'agencement des lieux, conçu par l'architecte Michel Dumoulin avec l'acousticien Philippe Ranchin, le diffuseur sonore Vincent Mahey, le directeur artistique Jean-Michel Proust et le "metteur en lumière" Jeff Wild. Le public est disposé tout autour de la scène, privilégiant le rapport scène/salle. A partir de 18h30, est proposé un "after work". Puis le soir, comme à l'américaine, deux concerts sont programmés : l'un à partir de 20h00, l'autre à 22h00.
Le Duc des Lombards, racheté en 2007 par Gérard Brémont à titre privé (aussi PDG de Pierre & Vacances), rouvrira le 20 février sous de nouveaux habits d'apparat conçus par le designer Elliott Barnes. Il devient surtout un endroit pluriel : à la fois jazz club, café et restaurant de 140 places assises ouvert toute la journée.
Alain Alexanian, a joué les 5 sens pour la carte qui s'articule autour de produits frais et de saison, souvent issus de l'agriculture biologique ou sélectionnés auprès de petits producteurs. Les mets seront servis dans des plats en fibres naturelles, en particulier des feuilles de palmiers. La restauration du déjeuner a été positionnée autour des 8 € pour les entrées, 14 € pour les plats et 8 € pour les desserts. Pour le soir en revanche, des Croq'in Jazz, un format de restauration plus légère, seront proposés pendant les concerts à 8 € pour le salé et 6 € pour le sucré à l'exemple du Croq'n Jazz au foie gras poêlé et gingembre.
Ouvert de 10 h à 3 h du matin
Dès 10 h du matin, un espace café accueillera les convives puis le Duc proposera tout au long de la journée, une restauration saine et inventive. L'endroit a choisi de mettre en avant la notion de plaisir et de partage avec les artistes. En témoigne le soin apporté à l'agencement des lieux, conçu par l'architecte Michel Dumoulin avec l'acousticien Philippe Ranchin, le diffuseur sonore Vincent Mahey, le directeur artistique Jean-Michel Proust et le "metteur en lumière" Jeff Wild. Le public est disposé tout autour de la scène, privilégiant le rapport scène/salle. A partir de 18h30, est proposé un "after work". Puis le soir, comme à l'américaine, deux concerts sont programmés : l'un à partir de 20h00, l'autre à 22h00.